Concessions : Des doutes sur la vente par facilités de paiement
Selon un article publié en ligne par El-Watan ce 31 octobre passé, la réorganisation du marché automobile algérien a été mise en cause, plus précisément, la vente de véhicules par facilité de payement. Il est question de l’une des principales dispositions introduite par le projet de loi de finances 2014 : l'intégration de l'industrie automobile par tout concessionnaires implantés en Algérie ainsi que le retrait du droit au crédit à 0 par eux même.
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<br>En effet, ce même article rapporte que l’Assemblée populaire nationale (APN) n’eut à fermer les yeux concernant les dispositions relatives à l’obligation, pour les concessionnaires automobiles, d’investir dans l’intégration industrielle, ainsi que la suppression du crédit auto à taux zéro. Une décision qui limiterait le rythme des importations de véhicules. Mais qu’au final l’interdiction fut levée par cause que rien n’empêche le concessionnaire d’effectuer des ventes par facilités de paiement.
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<br>Il est évoqué dans le texte en question qu’en dépit des raisons de cette transaction, à savoir, un crédit induit directement une rémunération via un taux d’intérêt rapporte El-Watan, en ajoutant qu’il ne s’agirait nullement de crédit dans le cas d’une facilité de paiement, et pour les commerçants que pour les concessionnaires automobiles. Plus bas, il est noté que le président de la commission des finances et du budget de l’APN Khelil Mahi travaille sur les mesures concernant l’intégration industrielle dans le secteur automobile, ajoutant que les parlementaires planchent sur la fixation d’un taux minimum d’intégration pour les projets à venir en citant le prochain examen de la loi sur le règlement.
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